À Haïti, il faut un dialogue social, également avec les gangs» (cath.ch,09/2025)
Une grande partie d’Haïti est sous l’emprise des gangs qui sèment le chaos. Jean-Claude François, responsable d’une ONG de développement sur place, estime que la solution doit passer par un dialogue social incluant les groupes armés.
https://www.cath.ch/newsf/a-haiti-il-faut-un-dialogue-social-egalement-avec-les-gangs/
Il faut aujourd'hui planter des arbres à Juba»: Betram Gordon (cath.ch,08/2025)
Avant, nous avions neuf mois de pluie, aujourd’hui, plus que quatre.» Ces 60 dernières années, l’Afrique s’est réchauffée plus rapidement que le reste du monde. De passage à Genève au début de l’été 2025, le sud-soudanais Betram Gordon, directeur de la Société St-Vincent-de-Paul (SVDP) à Juba, en a témoigné. Pour lui, l’Église a là une carte majeure à jouer.
https://www.cath.ch/newsf/il-faut-aujourdhui-planter-des-arbres-a-juba-betram-gordon/
Soudan du Sud: une ONG suisse désarme les gangs (cath.ch,12/2024)
À Djouba, au Soudan de Sud, un projet de paix entre les gangs et de réintégration sociale de leurs membres a été mis en place par l’État, avec l’appui de l’ONU et d’ONG. Le Centre de formations professionnelles de Lologo, soutenu par l’Association suisse des amis de Sœur Emmanuelle (ASASE), accueille 72 d’entre eux, avec succès, témoigne Patrick Bittar, qui s’est rendu sur place cet automne.
https://www.cath.ch/newsf/soudan-du-sud-une-ong-suisse-desarme-les-gangs/
Dans un Soudan du Sud meurtri, les Églises construisent l’unité (cath.ch,06/2024)
Le Soudan du Sud s’efforce d’établir une paix durable, après un conflit civil qui a fait près de 400’000 morts (de 2013 à 2018). Dans ce pays où les tensions ethno-politiques sont encore vivaces, les Églises jouent un rôle essentiel d’unification.
https://www.cath.ch/newsf/dans-un-soudan-du-sud-meurtri-les-eglises-construisent-lunite/
Jean Claude François et l’expérience communicative du don (cath.ch,04/2023)
Il est des événements qui influent sur toute une vie. Pour Jean Claude François, fondateur il y a 30 ans de Haïti Cosmos, une ONG de développement, ce furent une jeune enfance passée dans la rue et la conversion de sa belle-mère au christianisme qui lui permit de trouver un foyer stable. «J’ai eu faim, j’ai reçu, et ça me pousse à donner aux autres.»
https://www.cath.ch/newsf/jean-claude-francois-et-lexperience-communicative-du-don/
Soudan du Sud: pour Betram Gordon, «le seul espoir pour les gens, c'est l'Eglise!» (cath.ch,09/2017)
«Nous voulons accueillir le pape François au Soudan du Sud. S’il vient, les choses vont changer!» Betram Gordon Kuol, coordinateur des projets de la Société Saint-Vincent-de-Paul (SVDP) à Juba, partenaire local de l’Association suisse des Amis de Sœur Emmanuelle (ASASE), n’y va pas par quatre chemins: «Au Soudan du Sud, pour les gens du peuple – la base, pas les chefs, pour qui la guerre n’est qu’un business -, le seul espoir désormais, c’est l’Eglise».
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Soudan du Sud : Instruire et créer du lien pour garantir la paix (Ouest-France, 09/2016)
Betram Gordon Kuol, ancien réfugié sud-soudanais et responsable du développement de la Société de Saint-Vincent-de-Paul au Soudan du Sud.
https://www.ouest-france.fr/monde/soudan-du-sud/soudan-du-sud-la-moitie-de-la-population-souffre-de-famine-4524552
Une vie : Sœur Emmanuelle (Brut, 07/2021)
Elle était surnommée "la petite sœur des pauvres"... C'est Sœur Emmanuelle. Voici son histoire.
https://www.brut.media/fr/videos/france/societe/une-vie-soeur-emmanuelle
Sécheresse et conflits : le Soudan du Sud frappé par la famine (RTS, 04/2017)
La famine qui sévit actuellement lʹAfrique de lʹEst menace 15 millions de personnes. La sécheresse et lʹinstabilité politique font des ravages en Somalie, au Kenya, en Ethiopie, en République de Djibouti, en Ouganda et surtout au Sud-Soudan. Patrick Bittar, directeur de lʹAssociation Suisse des Amis de Sœur Emmanuelle, active à Djouba la capitale, rend compte des enjeux humanitaires et sécuritaires dans le pays.
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Des ONG quittent le Soudan du Sud, pas ASASE(cath.ch,10/2016)
Travailler au Soudan du Sud devient de plus en plus périlleux et compliqué pour les ONG. Depuis le début du conflit il y a près de trois ans, nombre d’organisation ont du interrompre leur travail où se sont retirées du pays. Alors que la courbe des besoins de la population a pris, elle, un envol. La Société Saint Vincent de Paul du Soudan du Sud (SVDP), partenaire local de l’Association suisse des amis de Soeur Emmanuelle (ASASE), poursuit pour sa part son action.
http://humanitaire.ws/des-ong-quittent-le-soudan-du-sud-pas-asase/
